Culture, qualité de production et environnement
Le débat constant que l'on a pu entendre ces dernières années oppose l'agriculture industrielle à la petite production et à la qualité.
Au cours des soixante dernières années, la mécanisation et l'organisation des productions

ont évolué dans cette direction. Le choix des variétés ne prenait pas en considération la valeur nutritionnelle et le goût des aliments.
La terre était utilisée (tous les enseignements agricoles allaient dans cette direction) comme support de cultures. Les enjeux étaient exclusivement d'ordre volumétrique.
Nous sommes en train de changer d’ère :
Une meilleure compréhension des connaissances scientifiques liées au sol et à notre environnement, ainsi qu'une meilleure connaissance de la nature, modifient nos paramètres. Nous comprenons que nous ne sommes pas des cultivateurs de la nature, mais que nous en faisons partie.
Nous devons garder à l'esprit que nous avons l'obligation de fournir une nourriture de qualité à tous, qui dans le futur sera encore plus nutritive (nutrition = santé).
En matière de cultures végétales, indépendamment de l'envergure de la production, plus une unité de production est en mesure d'investir dans des savoirs scientifiques et dans des cultures (sélection variétale) qui apportent un bénéfice réel sur le plan nutritionnel, meilleure sera la symbiose avec la nature et une fourniture alimentaire pour tous.
. Il a été prouvé scientifiquement (Livre Merlin sheldrake) que) la présence abondante de champignons (biotope forestier) contribue à une concentration élevée en sucre (le goût) dans les récoltes. Botanist et Exception a décidé de se concentrer sur la mycorhization des sols (agriculture régénérative ou conservatrice) dans le but d'offrir les saveurs les plus raffinées pour nos épices
La qualité passe par la connaissance.
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